Pour la première fois, l'artiste est admis au salon et à la table, avec le critique qui régente, le littérateur qui explique, le savant qui vulgarise et le philosophe qui détruit. C'est le peintre, c'est le sculpteur qui perd le plus à ces contacts, il est mal à son aise entre l'analyse rationaliste et l'abstraction sentimentale, il oublie peu à peu la vie des volumes profonds et des couleurs trempées de pluie et de lumière pour suivre desdirections morales où il perd très vite son chemin.