Depuis la colonie, rien n'a changé; le scénario est désormais classique. Le vieux vent caraïbe chargé de sel marin et d'odeurs putrides mordra encore le visage des habitants. La soldatesque dansera la meringue de la violence et de l'arbitraire. A la répression de la Semaine sainte où les maquereaux de carême auront servi d'entremetteurs aux harengs de barrique, succéderont les giboulées d'avril.