Nationalité : France
Né(e) à : Lyon , le 29/11/1890
Mort(e) à : Paris , le 16/04/1966
Né(e) à : Lyon , le 29/11/1890
Mort(e) à : Paris , le 16/04/1966
Biographie :
Claude-Joseph Gignoux était Docteur en sciences économiques (1920) Agrégé de droit. - Journaliste, directeur de "La journée industrielle" puis directeur général de la Revue des deux mondes pendant dix ans. - Homme politique : Il est député de la Loire de 1928 à 1932 et sous-secrétaire d'État chargé de l'économie nationale dans le cabinet de Pierre Laval de septembre 1931 à janvier 1932. Il est président de la Confédération générale de la production française, devenue la Confédération générale du patronat français (CGPF) en 1936. Sous le régime de Vichy, il enseigne l'économie industrielle à l'Institut d'études corporatives et sociales et il est membre du Conseil national de Vichy ainsi que du Comité d'information interprofessionnelle qui remplace alors la CGPF.
En 1958, il est l'un des collaborateurs d'Antoine Pinay et de Jacques Rueff et participe au comité chargé de l'instauration du nouveau franc.
Il est membre de l'Académie des sciences morales et politiques (1958)
+ Voir plusClaude-Joseph Gignoux était Docteur en sciences économiques (1920) Agrégé de droit. - Journaliste, directeur de "La journée industrielle" puis directeur général de la Revue des deux mondes pendant dix ans. - Homme politique : Il est député de la Loire de 1928 à 1932 et sous-secrétaire d'État chargé de l'économie nationale dans le cabinet de Pierre Laval de septembre 1931 à janvier 1932. Il est président de la Confédération générale de la production française, devenue la Confédération générale du patronat français (CGPF) en 1936. Sous le régime de Vichy, il enseigne l'économie industrielle à l'Institut d'études corporatives et sociales et il est membre du Conseil national de Vichy ainsi que du Comité d'information interprofessionnelle qui remplace alors la CGPF.
En 1958, il est l'un des collaborateurs d'Antoine Pinay et de Jacques Rueff et participe au comité chargé de l'instauration du nouveau franc.
Il est membre de l'Académie des sciences morales et politiques (1958)
Source : Wikipédia et Catalogue de la BNF
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Citations et extraits (1)
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Dans son fameux mémoire de 1659 adressé à M le Cardinal, Colbert s'était élevé avec force contre la "maxime de la confusion" où s'abandonnait Fouquet. La "confusion" consistait à ne pas penser à l'avenir et à "aller seulement au présent". Pour l'héritier du "Long Vestu", promis à l'administration du royaume de France, c'était là à coup sûr la pire des aberrations politiques. Il n'aura de cesse qu'à la "maxime de confusion" il ait partout substitué, d'un mot où il tient tout entier, la "maxime de l'ordre".
Partout et d'abord dans les finances. Non seulement parce qu'après la guerre civile et les dilapidations de l'ère mazarine, tout ou presque était à renouveler dans le système financier de la monarchie, mais aussi parce que la politique que méditait Colbert serait coûteuse avant d'être profitable....
(extrait du chapitre III "la maxime de l'ordre")
Partout et d'abord dans les finances. Non seulement parce qu'après la guerre civile et les dilapidations de l'ère mazarine, tout ou presque était à renouveler dans le système financier de la monarchie, mais aussi parce que la politique que méditait Colbert serait coûteuse avant d'être profitable....
(extrait du chapitre III "la maxime de l'ordre")
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