Il était distingué, aimable, correct, mais il n'y avait pas plus de passion en lui que dans un pieu de palissade.
Sa vie s'écoulait à vide, à l'instar de cette croisière.
Elle était muselée par l'impuissance, sans exclure le plaisir pour autant. On peut dire qu'il ressentait le plaisir plus intensément que quiconque, mais, une fois le plaisir passé, il sombrait aussitôt, sans délai, dans le gouffre de l'impuissance et la morosité.
L'impératrice Catherine n'était autre que le Frédrich Engels de l'année précédente après un lifting radical.