Michael O`Mara Books Ltd [corriger]

Tout d’abord des remerciements s’imposent. Un très grand MERCI à toi, Pareyla pour ta magnifique critique du second tome. Tu as permis de me rappeler que j’avais attendu bien trop longtemps pour commencer l’aventure en compagnie du bourbon Kid, comme tu l’as si bien dit, j’ai atterri chez les fous. Santa Mondega c’est la ville où tous les pires individus que vous pouvez imaginer sont réunis.



Wopunaise, mais quel pied, c’est devenu en quelques pages un coup de cœur. J’avais besoin de ça, une lecture exutoire pour me vider la tête. Anonyme m’a foutu une sacrée baigne comme je les aimes, c’est un livre complétement déjanté. C’est une lecture ou vous pouvez mettre votre cerveau complètement au repos. Je vous déconseille de réfléchir à des hypothèses car absolument aucun indice ne peut vous faire deviner l’issue de ce premier volume. J’ai qu’une hâte, poursuivre rapidement l’aventure car Anonyme nous laisse en plant (la crapule ^_^)



J'ai énormément ri, les dialogues sont d’un langage bien fleuri qui ne plaira pas à tout le monde. Les situations, les personnages tout est dingue. L’histoire part dans tous les sens, limite sans aucune logique et pourtant une fois arrivé aux cent dernières pages, tout converge. D’ailleurs je vous conseille vivement de les lire d’une seule traite.



La légende dit que Anonyme serait Quentin Tarantino, je la crois. J’irai même jusqu’à dire que le livre serait issu du travail de quatre mains, les siennes mais également celle de son compère, le réalisateur Robert Rodriguez. Le livre à de bien nombreuses similitudes avec leur univers cinématographique.



Allez, pour finir je vous propose un petit jeu, pour vous montrer ce que j’ai vécu. Je vais vous décrire quelques-uns des personnages principaux en essayant d’imiter au mieux le style de langage utilisé. Par respect pour les plus jeunes ou les allergiques aux grossièretés je préfère masquer cette partie. Je tiens à préciser qu'aucun spoil n’est fait de ma part. C’est juste de la bienveillance, rien d’autre.





Santa Mondega, il est très exactement 6 livres : 75 pages : 147 mots du matin. Eh ouais c’est une unité parfaitement légal issue de ma sœur de plume Magali. Moi je l’aime bien cette unité, elle est vraiment cool !!!



Allons faire un tour au Tapioca l’un des bars où la population malfaisante de cette ville s’entasse.



Commençons par Sanchez le tenancier de ce rade miteux. À première vue un simple barman. Sauf que ce sac à merde, il a un sérieux problème avec la pisse. Oh le con !!!



Woaouuuhhh putain v’là le King en personne qui fait son apparition. Pantalon pate d’eph d’un blanc immaculé, rouflaquettes parfaites, lunettes de soleil cerclées d'or et des mocassins en suédine bleu marine. Merde alors !!! Quelle classe, il est carrément trop Rock’n Roll. Mais Elvis, oh yeah, c’est l’une des pires ordures de cette ville.



À tiens y’a aussi cet enculé de Jefe. De chef il n’a que le nom tout comme Elvis ce gars-là, ben faut mieux pas croiser son chemin, c’est un putain de salopard, j’vous l’dis !!!



Kyle et Peto, ou ducon et ducon si vous préféré, les deux illuminés qui donne l’impression d’être tout droit sortie d’une secte. Avec leurs accoutrements orange déglingués, ils font carrément tache dans le décor. Malgré leurs aires de lourdaud, j’serais vous, je ferais pas le malin devant eux.



Oh merde, merde, merde !!! Le Bourbon Kid, lui, j’préfère pas vous en parler rien que dit penser j’ai toute une boîte de twix dans le fond du caleçon (petite dédicace à M Bernard Minier ;-)).





Je vais en rester là, mais sachez une chose, vous ne ressortirez pas indemne de cette lecture.





My my my i wi woo!

M m m my Sharona...

(C’est pour toi Colette ;-))))





ADIOS BANDIDOS

Je n'ai pas terminé ce livre.

Mais je n'exclue pas le reprendre un jour.



Le début est trés long et ne m'interesse absolument pas.

Tout le monde veut une pierre qui rend immortel alors ils se la volent les uns les autres. Voilà.



Le tout dans une ambiance peudo wester qui ne m'attire pas du tout.