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Je suis allé rechercher ce livre d'art dans le fond de ma bibliothèque afin de l'ajouter à la liste de mes livres. Première surprise, il n'apparaissait pas dans l'immense base de Babelio. Seconde surprise, enfouie au milieu des pages de ce grand livre, une lithographie signée de l'artiste.
Je ne suis pas un grand amateur de ce peintre dont les œuvres présentées dans cet ouvrage datent des années 70. C'était le cadeau d'un ami et je n'ai pas suivi le parcours artistique de Giacomo de Pass dans les années qui ont succédée à cette période. C'était, à cette époque, un artiste prolifique et connu dans le monde entier mais son art ne m'a que très peu impressionné (clin d'œil appuyé aux maîtres impressionnistes). Si ce n'est une œuvre, Aura Magique, présentée en préface, une toile abstraite où surgit la lumière dans une myriade de couleurs allant du plus sombre au plus éclatant et quelques toiles surréalistes des années 60, le reste du livre garde le même sujet : La Femme. Vaste sujet qui mérite que l'on s'y attarde mais la représentation qu'en fait Giacomo de Pass est, à mon goût, un peu simpliste. On y voit des jeunes filles en fleur, souvent nues, croiser des thèmes variés, la musique, l'amour, les animaux... Des sujets certainement chers à l'artiste mais qui me laissent un sentiment d'inabouti. Des dessins que je qualifierais de naïfs, romantiques peut-être, proches des dessins de Peney ou des aquarelles de Marie Laurencin.
Je ne suis pas un grand amateur de ce peintre dont les œuvres présentées dans cet ouvrage datent des années 70. C'était le cadeau d'un ami et je n'ai pas suivi le parcours artistique de Giacomo de Pass dans les années qui ont succédée à cette période. C'était, à cette époque, un artiste prolifique et connu dans le monde entier mais son art ne m'a que très peu impressionné (clin d'œil appuyé aux maîtres impressionnistes). Si ce n'est une œuvre, Aura Magique, présentée en préface, une toile abstraite où surgit la lumière dans une myriade de couleurs allant du plus sombre au plus éclatant et quelques toiles surréalistes des années 60, le reste du livre garde le même sujet : La Femme. Vaste sujet qui mérite que l'on s'y attarde mais la représentation qu'en fait Giacomo de Pass est, à mon goût, un peu simpliste. On y voit des jeunes filles en fleur, souvent nues, croiser des thèmes variés, la musique, l'amour, les animaux... Des sujets certainement chers à l'artiste mais qui me laissent un sentiment d'inabouti. Des dessins que je qualifierais de naïfs, romantiques peut-être, proches des dessins de Peney ou des aquarelles de Marie Laurencin.