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    HarletteBab le 01 août 2018
    Un grand merci, et surtout un grand bravo à tous les participants du défi d’écriture de juillet !

    Pour ce mois d’août, nous vous proposons un nouveau thème original : "Quand le chat n’est pas là". 



    Comme d’habitude, laissez libre cours à votre imagination ! La longueur de votre texte ne dépend que de vous. 
    Pour participer, il vous suffit de publier votre histoire en cliquant sur "publier" avant le 31 août à minuit.

    Comme chaque mois, un ouvrage est à gagner pour le/la vainqueur ! 

    Bon courage à toutes et à tous !
    Tinuviel33 le 16 août 2018
    Bonjour, j'ai trouvé le sujet amusant, alors je partage mon petit écrit sans prétention. Merci qui? Merci Grumpy !

    Lorsque le chat n’est plus là, partis débusquer d’autres proies,
    les souries s’en donnent à cœur joie.
    Elles prolifèrent, profitant de l’ivresse, gagnaient par la paresse ;
    s’épaississent, s’alourdissent, sont gagnaient par le vice.

    Lorsque le chat n’est pas là, plus rien ne va.

    Les souris rongent le bois, rongent le toit, rongent en quelques mois, l’intégralité de leur chez soi.
    Tout est prêt à s’effondrer, elles ne voient pas, leur destin basculer.
    Mais, le chat est de retour… Et il est furieux !
    Il est pris de frénésie, car on a osé détruire son abris...

    Alors, il se tapis, guette et se jette, sur les souris endormies.
    Les babines animées, le sourire aux lèvres, ses moustaches frissonnent.
    Il se démène et dévore une à une, soigneux, l’intégralité des souris.

    A la fin, il ne reste plus rien : plus de maison, plus de souris, juste un chat fatigué mais ravis, qui s’étire et repart dans la nuit.
    Pinceau le 21 août 2018

    Bonjour à tous


    Peu de textes pour l'instant


    Bonne continuation et bon été à tous


     


    Nuit blanche dans le Missouri


    Tandis que les nuages se dispersent en fables nonchalantes
    Et que les flamboyantes teintes du ciel
    Éclaboussent éperdument tout le paysage alentour
    Piquant un chatoyant fard vermillon

    Chaleur torride ou timidité soudaine ?

    Peu importe
    Savourer la magie de cet instant fugace
    Et voir la vie en rose en rêvassant

    Mine de rien
    Les émotions fortes ça creuse

    Avec cette suffocante canicule
    Rien glandé de la journée
    Mais une de ces flemme !

    Quel heure est-il ?
    Encore 34°
    Charlotte a dû rentrer du boulot

    Comme je me languis de la retrouver
    En sillonnant sous les réverbères chaloupant
    Les pavés des longues ruelles désertes
    Pas un chat

    Au cœur du ciel charbon
    La lune échaudée craint l'eau froide

    Charivaris et tumultes diurnes enfin à marée basse
    Évanouis les vrombissements des bagnoles
    Seuls ronronnent les turbines des climatiseurs
    Et au fil des fenêtres entrebâillées
    Clignotent les reflets bleutés et syncopés
    Des machines à broyer le cerveau

    Lancinant grésillement des grillons
    Au lointain
    Aboiement tapageur d'un chien

    Dès le seuil franchi
    Miaulement aiguë de la charnière
    Sensation immédiate et palpable
    Que quelque chose cloche
    Car flotte une plombante odeur de mélancolie

    Voûtée sur la table de la cuisine
    Yeux cernés et traits tirés par les insomnies
    Cheveux collés sur sa nuque moite
    Charlotte est toute en larmes
    Tellement chamboulée
    Qu'elle ne me voit pas arriver

    Main posée sur son épaule
    « Qu'est-ce que tu as ? »

    Pas un mot
    Juste des reniflements

    « Qu'est-ce qui se passe ? »

    Aucune réponse
    Juste des soupirs

    « Tu as appris une mauvaise nouvelle ? »

    Broyant tellement du noir
    Avec ses yeux tout rouges
    Qu'elle ne semble même pas m'entendre

    Histoire de la réconforter
    Je la caresse et la chatouille

    Mais elle me repousse
    Aussi muette qu'une carpe
    Perchée dans un profond cafard

    Son silence à couper au couteau
    Me fait froid dans le dos
    Impression d'être un fantôme
    Chancelant et boitillant en automne

    Il est quelle heure?
    Déjà 2 litres moins quart de Chardonnay
    Je la connais par cœur
    Lorsqu'elle a quelques verres dans le nez
    Faut s'acharner pour les lui tirer

    Et sur ses joues dégoulinent
    D'amères rivières de spleen

    C'est dingue
    Chaque fois qu'elle écoute les Doors
    Ça la rend morose
    Je préfère la fantaisie des Strays Cats

    Que faire ?

    « Ma petite Charlotte
    Ne sois pas triste
    Ne t'inquiète pas
    Tout finit par s'arranger

    C'est pas la mer à boire
    Ni la fin du monde
    Respire et souris à la vie »

    Aussi je comprends son chagrin
    C'est pas coton avec son boulot de chien
    Payé des pépins de nèfles au lance-pierres
    Parfois elle en revient tellement excédée
    Qu'elle n'est pas à prendre avec des pinceaux
    Pendant au moins ½ litre

    Puis avec mon poil dans la main
    Je n'échangerais nos places
    Pour rien au monde
    Et pas la moindre minute

    J'ai beau lui offrir
    Toutes mes lucioles d'espoir
    Le summum de la sérénité
    Lui raconter les merveilles de la vie
    Lui chanter tout mon amour
    Elle reste insensible à mon charabia
    Ses canaux lacrymaux chavirant
    Sous une inlassable pluie battante

    Faut dire qu'avec l'expulsion
    Qui nous tombe sur le nez
    Y a rien d'enchanteur
    A dormir sous les ponts

    Je me jette chaleureusement à son cou
    Histoire de la consoler

    « Ma petite Charlotte
    Tu sais que je serai toujours là pour toi »

    Et enfin sortant de son mutisme
    Elle me répond avec son charmant sourire velouté
    « Hé Minou, Traîne pas dans mes pattes
    Pendant que j'épluche les oignons ! »

    Cathye le 31 août 2018

    Bonjour,
    J'espère que vous avez passé un bel été.


    Dernière ligne droite, avant ce soir, minuit. J'espère qu'il y aura plus de textes.
    Je vous livre ma participation et vous en souhaite une bonne lecture.

    Ah ces souris...elles feront toujours parler d'elles.

    Quoi écrire d’intelligent, sur un titre parell, sans tomber dans la banalité des souris qui dansent sur le plancher.

    Je les imagine debout sur leurs petites pattes arrière, la queue traînant en guise de métronome, se tenant chacune la patte avant pour former une ronde, et elles roulent des yeux qui se verraient bien hors de leurs orbites, et elles s’interpellent et elles chantent, de tout leur museau pointu, sur un air de valse musette. (Bah oui, y en a même qui sont musiciennes). Peut-être même qu’elles portent tutu et petits chaussons roses… Tiens, pas certaine qu’elles ne fassent pas des claquettes, aussi, à l’instar de cette troupe irlandaise, toutes alignées sur la scène.

    Une vraie débauche festive quand le chat a le dos tourné.

    Et ne vous y fiez pas. Toutes les souris sont malignes. Et facétieuses, avec ça.

    Parce que vous, vous croyez, vous pensez les surprendre en train de commettre leur forfait ou de les attraper par le bout de leur queue alors qu’elles tentent une sortie. Mais que nenni. Elles se glissent vous ne savez comment et s’échappent vous ne savez où.

    Et comme elles sont très curieuses, telles des exploratrices, elles repèrent vite fait le moindre petit trou, le moindre interstice. Elles connaissent tout de la maison, du bureau. Les moindres recoins, dans lesquels elles se faufilent pour se soustraire à l’œil inquisiteur.
    Mais aussi toutes les cachettes dans lesquelles vous glissez la nourriture qui les attire comme des aimants. D’ailleurs, on peut se demander comment elles forcent les portes des placards, pour aller goûter soit un morceau de chocolat, et quand je dis goûter, en fait, elles ne laissent derrière elles que le papier doré, comme pour vous dire qu’il faudrait en racheter au cas où elles repasseraient, soit déchiqueter un paquet de Pépitos ou autre douceur chère à votre cœur que vous espérez bien croquer à un moment quelconque de la journée.

    Mais voilà. Speedy Gonzalès, escroc notoire dont l’action est sans limite si on ne l’arrête pas, voire décime pas, vous a précédé.

    Et ces petites demoiselles, sans foi ni loi, discrètes et fouineuses, aiment avoir le choix pour leur nombreux repas quotidiens et s’attaquent donc aussi à vos réserves de graines pour le peu que vous soyez végan.

    De sacrées petites dévoreuses dont les actions délétères s’étendent bien au-delà de nos garde- manger.

    Et comme elles se goinfrent à satiété, en toute quiétude et profitant de votre absence, elles vous laissent, sournoises et hypocrites, en souvenir de leur passage, et certainement pour vous remercier de tant d’abondance, un héritage immonde de miettes éparses, mélangées à de minuscules têtes d’épingle noires qui, vous le comprenez vite, ne figuraient pas à votre menu. Parce que, évidemment, elles grignotent mais ont également l’outrecuidance de se soulager, sans honte aucune, sur la scène de leur délit.

    Quelle audace !!!

    Et je les entends rire et se tordre, les moustaches dégoulinantes de chocolat ou collées par la  confiture de fraises de vos madeleines préférées, ces criminels gourmands que l’on ne mettra jamais sous les verrous.

    Avec leur rire en cascade, elles s’amusent de vous.
    Car pour peu que vous en ayez une peur bleue, elles vous font dresser les cheveux sur la tête, les yeux exorbités et la bouche grande ouverte à gueuler. Et elles vous exhortent à sauter sur une chaise avec une telle rapidité et facilité que vous vous étonnez de votre agilité. Et vous voilà, sautillant d’un pied sur l’autre, au risque de la casser tellement vous craignez qu’elles grimpent le long de vos jambes et jusque sous vos jupes.

    Tout comme elles se moquent du chat, aussi, d’ailleurs.
    Qu’elles défient, fières et rebelles. Effrontées, arrogantes jusqu’à l’impertinence, elles l’aguichent, l’agacent, lui tricotent les nerfs en pelote.

    Car, toujours, Il les traque, tapi dans un coin du jardin, dans les champs dans lesquels elles adorent se promener à travers les blés, les tournesols ou autres cultures, pitances à souhait. Patiemment, la bouche tordue par un sourire mauvais, Il attend. Parce qu’il a tout son temps. Il les guette, de ses yeux mutins, les papilles en émoi, nonchalant mais prêt à bondir, tout en se léchant, par avance, les babines.

    Parce qu’elles représentent un festin de choix.

    Mais les coquines ont du flair, elles aussi. Elles sentent sa présence, elles devinent sa masse sombre, là, derrière le tas de bois, les épis de maïs ou derrière la valise de vieux papiers, de vieux cuir, qu’elles affectionnent tout autant qu’une autre gâterie.
    Et ces petits rongeurs, ça trottine, ça court, ça vire, ça saute et ça marche comme lui, à la verticale. Et silencieux aussi.
    Alors, forcément, elles lui mettent les sens dessus dessous. Elles le tourneboulent à l’endroit, à l’envers pour, à la fin, l’épuiser à le faire tourner en rond.

    Car, leur fantasme, à ces miniatures de créatures, rendre fous tous les chats pour tous les rayer de la terre !!! Et tous les petits bras se lèvent tel le vainqueur d’une course.
    Mais, hélas, ce n’est qu’un rêve.
     
    Car, aussi téméraires soient-elles, un simple morceau de gruyère et les voilà qui perdent la tête.

    Laerte le 02 septembre 2018
    Ouf, mieux vaut tard que jamais! Je suis un peu hors délai, mais c'est le weekend. J'en profite.
    Voici pour ceux qui ont conservé leur âme d'enfant un petit conte sans prétention.

    Le bal

    Dans la chambre plongée dans l’obscurité, la lampe crée un halo de lumière baignant la tête de Lucas et de sa maman. Elle lit une histoire. Tout est calme et on n’entend que le doux murmure de cette voix féminine et douce attentive à endormir son jeune garçon. Ce soir, c’est un peu difficile. Lucas en effet, est un peu excité depuis que dans l’après-midi, il a perdu sa première dent de lait.

    Il y a déjà plusieurs jours qu’il la faisait bouger avec sa langue. C’était même devenu une sorte de manie qui l’agaçait un peu. Cette petite chose qui n’était plus comme d’habitude dans sa bouche le dérangeait.

    Lucas avait même imaginé plusieurs solutions pour s’en débarrasser. Toutes s’inspiraient de ce qu’il voyait dans les dessins animés. Par exemple, mettre une ficelle autour de la dent et attacher l’autre bout à une poignée de porte. Tout d’abord, il n’avait trouvé qu’une ficelle un peu grosse, puis du bolduc pour entourer les cadeaux. Non, ça n’allait pas du tout !

    Il avait finalement pris dans la trousse à couture de sa mère, un bout de fil solide mais fin qui pourrait convenir. Après quelques difficultés, il avait coincé le fil autour de la dent et l’avait relié à la porte de sa chambre. Malheureusement, il n’avait pas fait attention que cette porte s’ouvrait vers l’intérieur, et quand sa mère était arrivée après qu’il l’ait appelée, il avait failli prendre la porte dans la figure. Et puis il s’était souvenu que dans les dessins animés, les personnages ont souvent recours à des objets lourds comme des enclumes. Mais où trouver une enclume quand on est un petit garçon de six ans ?

    Et pendant ce temps-là, la dent remuait de plus en plus. Alors, finalement, c’est Papa qui a saisi cette dent entre deux doigts et en tirant un peu, l’a retirée. Ça n’a même pas saigné.

    Maintenant, à la place, il y a un trou que Lucas est allé regarder dans la glace tout étonné que ce soit si petit. Quand il y passe sa langue, ça lui parait une ouverture béante, qu’il explore à tout instant avec sa langue.

    Tout ça l’a mis dans un état d’excitation inhabituel d’autant plus que Maman lui a parlé de la Petite Souris qui allait passer prendre sa dent et lui donner une pièce de monnaie à la place.

    Il voudrait bien voir cette mystérieuse petite bête et lui parler. Il lutte contre le sommeil qui l’envahit progressivement bercé par la voix douce de sa maman qui lit cette histoire d’ours qu’il connait par cœur, mais qu’il a toujours beaucoup de plaisir à écouter.

    Pendant ce temps, dans un trou du mur sous la maison, la Petite Souris s’impatiente. Elle a déjà fait deux dessous d’oreiller pour récolter des dents de lait. Ce soir, il ne lui reste plus que celle de Lucas. Elle ne peut intervenir que lorsque l’enfant sera endormi et elle voit bien qu’il tarde à le faire. Cela tombe très mal parce que ce soir elle a une soirée avec ses autres copines de la compagnie des Petites Souris des dents. Car pour ceux qui l’ignoreraient, il n’y a pas qu’une Petite Souris pour s’occuper des dents de tous les petits enfants de la Terre. Il y en a beaucoup et elles se relaient chaque nuit pour assurer cette lourde tâche. Ce soir, celle qui est de service dans le quartier s’appelle Arceline et elle s’impatiente. A chaque fois que Lucas ferme un peu les yeux, elle s’apprête à partir, mais aussitôt, il les rouvre. Elle piétine en rouspétant qu’elle va être en retard encore une fois et qu’elle a horreur d’arriver après les autres, qu’elle ne sera pas dans l’ambiance, etc..

    Un long moment s’écoule, quand soudain, elle constate qu’enfin le garçon s’est endormi. La maman a d’ailleurs fermé son livre et se lève pour partir.
    Arceline est déjà dressée sur ses pattes quand elle voit Lucas se redresser :

    -          Bisou, Maman !

    La maman se penche encore une fois et embrasse son fils. Lui, est déjà reparti dans le sommeil avant qu’elle se soit redressée.

    Pour Arceline, la voie est libre, enfin !

    Elle se précipite, mais si petite soit-elle, en se glissant sous l’oreiller, elle bouscule la tête de Lucas.

    Il se redresse légèrement, et les yeux toujours fermés il murmure quelque chose d’indistinct où il serait question de dent et de souris, puis sa tête retombe sur l’oreiller. Décidément, le sommeil est trop lourd.

     Arceline pousse un soupir de soulagement. En plusieurs années de carrière, c’est la première fois qu’elle a failli se laisser prendre.

    Vite, elle se met à la recherche de la dent. Fébrile, elle s’agite pour la trouver.

    « Où est-elle, cette dent ? » s’inquiète-t-elle.

    Enfin, après plusieurs allers et retour sous l’oreiller qui l’étouffe un peu, elle finit par la trouver sous un pli du tissu. Elle s’en empare à toute vitesse, dépose la pièce qu’elle avait dans son sac et repart. Dans sa précipitation, elle manque de peu de se casser une patte en sautant du lit. Mais non, elle n’a rien. Ouf !

    Elle retrouve son trou où elle dépose la précieuse dent qui vient compléter l’énorme collection qui est alignée le long des murs.

    Arceline se recoiffe rapidement, et se précipite chez ses amies. En arrivant, elle voit avec soulagement que tout le monde est là.

    Elle s’écrit alors :

    -          Quand le chat n’est pas là…

    Et les autres de répondre toutes en chœur :

    -          Les souris dansent !
    Cathye le 03 septembre 2018
    Genial, Laerte. J'avais complètement oublié cette histoire de dent de lait. Super mignon...Surtout quand Arceline se recoiffe...trop drôle. Merci pour ce joli conte. C'eut été dommage de ne pas le poster...même hors délai...Nous, je ne sais pas, mais vous, oui, vous l'avez conservée, votre âme d'enfant. 
    Au plaisir de tous vous retrouver sur le prochain défi.
    HarletteBab le 03 septembre 2018
    Merci et bravo à tous vos beaux textes, tous très différents !
    Le gagnant de ce mois-ci est Pinceau, avec son poème à "chute" !
    Mention spéciale à Cathye

    Rendez-vous au prochain défi d'écriture ! ;)
    Laerte le 03 septembre 2018
    Bravo à Pinceau le grand gagnant et à Cathye pour sa mention.

    Et aussi merci beaucoup à la même Cathye pour son appréciation. A mon âge, avoir conservé son âme d'enfant frise la sénilité, mais tant pis, vaut mieux ça que d'être sérieux.

    Et rendez-vous fin septembre pour un prochain dénouement.
    Tinuviel33 le 03 septembre 2018
    Félicitation à Pinceau et à tous pour ces jolis textes que j'ai pris grand plaisir à lire! Et merci à l'organisateur de ces petits défis d'écritures, un concept vraiment très sympa, je participerai de nouveau avec plaisir aux prochains! Bonne rentrée à tous!
    Cathye le 04 septembre 2018
    Un grand bravo à Pinceau, j'aime bcoup car la chute de son poème m'a bien fait rire...
    Et merci à l'équipe pour cette mention spéciale qui me va droit au ❤️ 
    @ Laerte : tss tss - le sérieux, c'est pour plus tard 😉😂

    Et vite vite le prochain défi.
    Pinceau le 05 septembre 2018

    Bonjour à tous


    Un grand bravo à tous les participants pour leurs jolis textes.
    C'est toujours un plaisir ce partage d'émotions...
    Un grand merci à l'équipe de Babelio pour ce prix qui me touche beaucoup!
    Merci aussi à tous ceux qui ont aimé mon texte ;)
    Sans oublier une spéciale dédicace à Pastel & Pinceau, mes félines qui m'ont donné l'inspiration...
    Bonne continuation à tous & à bientôt dans la forêt... ;)




                                                                                               

    melo69 le 18 janvier 2019
    Bonjour

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