Romans et Nouvelles

Je voudrai savoir si quelqu'un a lu La femme du Vème de Douglas Kennedy. Si oui, qu'en pensez-vous ?

C'est le prochain livre sur ma liste !

Je ne l'ai pas lu mais je peux te dire que dans la bibliothèque où je travaille beaucoup de nos lecteurs ont été très déçu par le côté fantastique-surréaliste du bouquin.

L'un d'eux a dit "On dirait du Marc Lévy!"

Tu l'auras compris, si tu adores Marc Lévy n'hésite plus! :-D

bonjour
je suis nouvelle^parmi vous
je n'ai pas aimé ce livre :(
c'est vraiment bizarre toute cette pub pour ce livre , ce n'est vraiment pas son meilleur

Mia : Je ne l'ai pas lu mais je peux te dire que dans la bibliothèque où je travaille beaucoup de nos lecteurs ont été très déçu par le côté fantastique-surréaliste du bouquin.

L'un d'eux a dit "On dirait du Marc Lévy!"

Tu l'auras compris, si tu adores Marc Lévy n'hésite plus! :-D

bonjour Mia
travailler dans une bibliothéque c'est un réve :-D

courgette : Je voudrai savoir si quelqu'un a lu La femme du Vème de Douglas Kennedy. Si oui, qu'en pensez-vous ?

:-D [size=18:db56fd8a1e][/size]

J'ai adoré ce livre, ainsi que d'autres du même auteur. Comme je suis toute nouvelle sur ce site, je ne sais pas si mon message sera lisible.
Je trouve que Douglas Kennedy a beaucoup d'imagination, pour moi, c'est comme un bon dessert quand j'ai lu des livres plus sérieux. Véronic

je n'avais pas du tout aimé une relation dangereuse de douglas kennedy.
Au début de son roman, la femme du Véme, j'ai été agréablement surprise,enfin un vrai suspens.
Mais quelle deception en découvrant qu'il y avait de la sciense fiction;tout retombe comme un soufflet, et l'histoire est tout à coup sans interêt.
Définitivement j'abandonne cet auteur.

oups je viens de me relire, rectification pour science!

J'avais bien aimé "Le charme discret de la vie conjugale" et "L'homme qui voulait vivre sa vie", mais j'ai entendu tellement de mal de la Femme du Vème que j'hésite...
J'ai malheureusement déjà acheté le livre - même pas en poche, en plus! - donc je finirai bien par le lire de toute façon; je vous dirai ce que j'en pense (j'ai encore plus peur avec cette histoire de science-fiction, maintenant...).

Je n'ai pas vraiment aimé ce livre, et surtout il ne m'a vraiment pas marqué, j'en garde un souvenir assez flou. Mais je ne trouve pas les livres de Douglas Kennedy transcendants en général, ça se lit vite mais ça n'a rien d'exceptionnel à mon goût.

Bonjour,je découvre les critiques à propos de La Femme du Vème et comme je viens de le lire,j'ajoute mon petit commentaire.
J'ai lu d'abord L'homme qui voulait vivre sa vie qui ne m'a pas trop plu car je trouve que c'est trop proche des thrillers américains puis Le Charme discret de la vie conjugale que j'ai bien aimé parce que l'analyse des personnages et de la société est beaucoup plus profonde.
Troisième étape La Femme du Vème.
Si vous le permettez,je voudrais d'abord dire que ça n'a rien à voir avec les gnan gnanteries de Marc Levy (genre Ghost) et que ce n'est pas de la science-fiction qui y apparaît mais du fantastique.
Je vais vous envoyer cette première partie puis j'en viendrai à la crtique proprement dite.

Nous y voilà.
Au début,j'étais assez réticente parce que j'avais l'impression d'entrer dans le sempiternel schéma kennedien du pauvre gars qui a tout pour mener une vie heureuse,puis qui va malencontreusement être confronté à toute une série de malheurs qui vont le conduire au fond du gouffre jusqu'au moment où il remontera la pente
Et c'est vrai qu'il faut un certain temps pour que le roman atteigne sa véritable dimension.
On ne se doute pas du tout que l'on va basculer dans le fantastique puisque la rencontre avec le Femme du Vème semble être une banale histoire de baise et rien de plus.Mais la spirale infernale se met en place et se fait de plus en plus étouffante.
En fait,Douglas Kennedy n'a rien inventé puisqu'il se sert du mythe de la femme-vampire (origines hongroises de la belle,discrète allusion à une morsure au cou) mais il le remet au goût du jour dans un Paris très sordide.
De même,l'innocence du héros à qui on attribue pas mal de méfaits,est un peu une réminiscence des films de Hitchkock voire de l'univers de Kafka.
Ainsi,mine de rien,se posent quand même des questions sur la destinée et sur la liberté de l'être humain:est-ce lui qui est responsable de sa vie ou est-il déterminé par une puissance supérieure (en l'occurence ici le terrible et sensuel fantôme)?
Du point de vue littéraire,j'ai bien aimé la fin sans réponse où oeuvre de fiction et témoignage réel ne feront plus qu'un tandis qu'au début,j'avais apprécié les coups de chapeau à Simenon quand Kennedy compare le sort de son héros coincé dans Paris à celui du personnage de Trois chambres à Manhattan
Bref,si le démarrage a été un peu lent,le réalisme pesant mêlé au fantastique m'ont bien plu (sorry à mes amis de facebook qui y ont déjà lu ma critique)