Poudlard en RPG

RPG ouvert à tous les membres de Gryffondor et aux professeurs y étant affiliés.



La Grosse Dame se dresse devant vous. Son vieux tableau a récemment été rénové, et la peinture plus neuve brille légèrement. Fière, la femme vous regarde avec un air narquois et moqueur ; sa transformation l’a rendu particulièrement fière d’elle-même. Son verre vide lui sert de miroir pour s’observer minutieusement. Après avoir réussi à la forcer à vous regarder, vous prononcez le mot de passe actuel : Miroir, miroir, qui est la plus belle ? Bien évidemment, il a été décidé par le tableau lui-même ; la Grosse Dame se plait d’ailleurs à attendre que vous lui signifiez toute sa beauté avant de vous laisser entrer. Quand elle pivote, une ouverture circulaire de la hauteur d’un adulte moyen s’ouvre devant vous. Vous y entrez et découvrez la Salle Commune. Plutôt grande, celle ci se compose d’une pièce principale et d’une pièce secondaire. Devant vous, dans la pièce principale, se dresse une grande cheminée qui brûle en permanence. Les murs sont en pierre, et des grandes fenêtres s’ouvrent sur chaque mur, preuve que vous êtes bien en haut de la Tour de Gryffondor. La pièce est très éclairée, sauf la nuit où elle est particulièrement sombre. Des fauteuils et des canapés en cuir brun sont disposés partout dans la pièce, ainsi que quelques petites tables par-ci par-là. L’ambiance est chaleureuse et douce. Au dessus de la cheminée, les principes des Rouges et Ors ont été inscrits en lettres dorées : « Force, Courage, Bravoure et Honneur » Des grands rideaux rouges ressemblant à ceux des théâtres moldus servent d’entrée à la seconde pièce, bien plus calme : la salle d’études. Des étagères remplies de livres un peu partout ainsi que des tables et des chaises en bois emplissent la pièce. L’ambiance y est bien plus studieuse, mais il y a également bien moins d’élèves. Retour à la salle principale. Une grande tête de lion y est accrochée, juste au-dessus de la cheminée, un peu en dessous de l’inscription. Elle est enchantée magiquement, et agite la tête en rugissant de temps à autres. Sur les murs de droite et de gauche (par rapport à l’entrée), au fond, se dressent deux petits escaliers de quelques marches qui mènent chacun à une porte. Sur celle de droite, l’inscription « GARÇONS » est affichée, sur l’autre, un « FILLE » est inscrit. Sans aucun doute : les dortoirs. Les deux portes sont en bois marron foncé, avec un lion peint sur la partie supérieure de la porte, en dessous de l’indication. Les poignées sont toutes simples. Mais les portes possèdent leur petit secret défensif ; les choses ont changé depuis Harry Potter, et l’escalier des filles ne se transforme plus en toboggan quand un garçon tente d’y monter, car les professeurs ont réfléchi au risque que les élèves lancent des sortilèges de Lévitation. Alors si un garçon tente de pénétrer dans le dortoir des filles, ou inversement, le lion peint s’animera et le/la mordra. L’intrus sera bon pour afficher piteusement une grande morsure au bras, qui n’est pas dangereuse ni mortelle, mais qui pique atrocement. Il faut bien punir les « imbéciles »... À l’entrée de la Salle Commune, il y a également des portes manteaux pour les élèves s’étant trempés ou salis, histoire de ne pas salir toute la Salle Commune.
Le 1er septembre, les préfets font visiter la Salle Commune aux premières années puis se divisent en deux groupes (filles / garçons) pour aller découvrir les dortoirs.


À vos plumes, vivez ici les aventures les plus folles !