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Citations sur Les enquêtes de Simon, tome 2 : Les cocottes (22)

Les mains dans les poches, froissé comme un drap de jeunes mariés, le Commissaire marchait sous la pluie.
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Simon détestait s'asseoir chez les gens qui avaient des animaux, parce que la politesse veut qu'on ne dise pas que l'on aime pas s'asseoir sur un canapé plein de poils. Et lui ça le dérangeait.
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La petite salle de restaurant était rutilante. Ses chaises de bistrot en acajou aux assises vert olive étaient soigneusement alignées en face des tables. Les nappes vertes étaient fraîchement repassées et les banquettes en cuir, vertes (elles aussi), faisaient le tour de la pièce. Des petits cadres et miroirs publicitaires habillaient les murs bordeaux. Les petits lustres en verre qui descendaient du plafond procuraient une luminosité agréable pour qui se mettaient à table et une obscurité confortable pour qui ne voulait pas voir ceux d'à côté.
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- Est-ce que la Baestria a eu des enfants ?
- Pensez qu'elle m'aurait tout laissé si elle avait eu de la géniture ? Non, elle se rinçait au vinaigre...
- Au vinaigre...
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- [...] Il faut que tu sois plus philosophe. Dans la police, on apprend à l'être très vite. On peut pas tout empêcher. Au début, c'est dur de se rendre compte qu'on n'est pas un héro mais après, on s'y fait. C'est comme un cor au pied, on vit avec.
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p.237.
Il a influencé et manipulé les deux hommes pendant des années. Imaginez qu'on vous répète sans cesse qu'une personne est mauvaise, même si vous pensez le contraire, au bout d'une moment, vous le croyez. Ce sont des années et des années d'influence, qui, mises bout à bout, font que vous n'avez plus de doute. C'est une haine attisée chaque jour, c'est une rancœur aigre qui entre en vous un peu plus tous les jours comme un poison que l'on vous injecte régulièrement.
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Sa démarche semblait redonner vie à l'autruche qui s' était sacrifiée pour orner son chapeau.
Chapitre 4, page 44
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p.233.
La Famille. Moi qui n'en ai pas vraiment eu, je ne pouvais ni ressentir, ni reconnaître ce lien que les gens d'une même famille peuvent avoir entre eux. Cette chose indéfinissable qui vous attache et vous retient. Qu'est-ce qui fait que parce qu'on est de la même famille, on voyage ensemble ? Qu'est-ce qui fait qu'on se protège mutuellement et qu'in fait partie d'un tout ? Un tout, qui malgré certaines tentatives de fuite, reste en vous jusqu'à votre mort. Cette sensation d'appartenance à une chose plus grande, plus forte et plus importante, et qui au final nous rend plus puissant ou nous empoisonne.
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p.233.
- La folie d'Edmond s'aggrave de plus en plus. Il ne se remet pas en question, c'est impossible pour ce genre de personne. Il met tous ses malheurs sur le compte des autres et en aucun cas ne comprend qu'il est complètement responsable de sa situation. Il fait des conclusions et prend des raccourcis.
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p.131.
- C'est que j'ai d'autres choses dans la tête, Monsieur le Commissaire. Vous comprenez, c'est la guerre qui vous prend tout, même quand elle est finie.
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