AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de gielair


Prix Robert-Cliche du premier roman en 2007, Stéphane Achille signe un curieux roman, tout aussi Balade en train assis sur les genoux du dictateur demeure une lecture surprenante où l'absurdité de la situation laisse pantois. On peut assister à des exercices de gestion interne, à une visite du domaine familial du dictateur, à l'élimination d'un garde du corps, à une exécution technique, et d'autres éléments baroques. quelques semaines après l'avoir lu, je me demande encore: l'ais-je aimé? Je ne me souviens pas m'être ennuyé en le lisant, mais il laisse tout de même un arrière-goût difficilement identifiable...
curieux que son titre peut l'évoquer. C'est l'histoire de la rencontre improbable d'un musicien paumé, français de passage à New York, avec un homme en complet gris accompagné de gardes du corps, et d'une visite en train d'un pays d'Amérique du Sud qui ne sera jamais nommé. L'homme au complet gris revêtira un uniforme et il s'avérera être le dictateur contesté du pays visité. Entre le rêve et la fantaisie, entre le discours dénonçant l'industrie musicale et la dérive politique,
Lien : https://rivesderives.blogspo..
Commenter  J’apprécie          21



Ont apprécié cette critique (2)voir plus




{* *}