L'analogie faite vers la fin entre la vie de yakuza et fumer des cigarettes est amusante, probablement juste, bien vue, et résumerait presque ce livre. Stimulant par moment, quelques pics de nervosités (pluriel) dans la brume de nervosités (pluriel) permanente et répétitive, du trop long, qui en devient trop banal. Ce livre aurait gagné à être plus court, manque de travail de l'éditeur...
Commenter  J’apprécie         110