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Critique de amanline
L' inspecteur Carl Morck, , revient à la brigade criminelle de Copenhague, après un congé maladie suite à une fusillade qui a couté la vie à l'un de ses coéquipiers et laissé paralysé le second. Avec son caractère de chien, il est très peu apprécié de ses collègues et peine à retourner bosser. Pour éviter la mise au placard de l'un de ses meilleurs éléments, son boss profite d'une réforme politique pour créer le département V, et parachuter Carl à sa tête.
Ce département à pour but de résoudre les affaires spéciales, délicates, celles qui ne sont toujours pas résolues, bref les cold cases. Relégué dans les sous sols de la brigade criminelle, Carl dans son bureau prend son mal en patience et passe le temps entre deux siestes, jusqu'au jour où on lui attribue un homme à tout faire, un ressortissant syrien, Assad. Mais cet homme de ménage va s'avérer être d'une redoutable efficacité pour redonner assez d'énergie à son chef et par la même assez de curiosité pour ré ouvrir les dossiers en souffrance.
C'est ainsi qu'ils vont se plonger dans la disparition cinq ans auparavant, d'une femme politique très en vogue qui se rendait, en ferry, à Berlin accompagné de son frère autiste.
J'ai découvert le département V et son équipe avec Délivrance, c'est donc avec beaucoup de plaisir que j'ai suivi cette première enquête. J'ai eu l'impression de retrouver de vieux amis et surtout de découvrir un pan de leur histoire, notamment comment est né ce fameux département V et de quelle façon Carl et Assad se sont rencontrés et adoptés.
Ce couple d'enquêteurs est plutôt atypique et très attachant. Assad, avec son esprit bien affuté et ses frasques, apporte de la tendresse et une touche d'humour alors que Carl malgré son coté bourru et assez désagréable , cache en réalité au fond de lui un homme bon, paternaliste et profondément humain.
Comme avec ses autres enquêtes , Jussi Adler Olsen, dans ce premier roman nous guide et nous entraine. On tourne les pages, sans sourciller. Un pur régal....
Ce département à pour but de résoudre les affaires spéciales, délicates, celles qui ne sont toujours pas résolues, bref les cold cases. Relégué dans les sous sols de la brigade criminelle, Carl dans son bureau prend son mal en patience et passe le temps entre deux siestes, jusqu'au jour où on lui attribue un homme à tout faire, un ressortissant syrien, Assad. Mais cet homme de ménage va s'avérer être d'une redoutable efficacité pour redonner assez d'énergie à son chef et par la même assez de curiosité pour ré ouvrir les dossiers en souffrance.
C'est ainsi qu'ils vont se plonger dans la disparition cinq ans auparavant, d'une femme politique très en vogue qui se rendait, en ferry, à Berlin accompagné de son frère autiste.
J'ai découvert le département V et son équipe avec Délivrance, c'est donc avec beaucoup de plaisir que j'ai suivi cette première enquête. J'ai eu l'impression de retrouver de vieux amis et surtout de découvrir un pan de leur histoire, notamment comment est né ce fameux département V et de quelle façon Carl et Assad se sont rencontrés et adoptés.
Ce couple d'enquêteurs est plutôt atypique et très attachant. Assad, avec son esprit bien affuté et ses frasques, apporte de la tendresse et une touche d'humour alors que Carl malgré son coté bourru et assez désagréable , cache en réalité au fond de lui un homme bon, paternaliste et profondément humain.
Comme avec ses autres enquêtes , Jussi Adler Olsen, dans ce premier roman nous guide et nous entraine. On tourne les pages, sans sourciller. Un pur régal....
