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Critique de barjabulette
Lu dans sa version intégrale, je ne critiquerai donc que ce tome 1. Critique valable pour le tome 2 des aventures de Guilhem d'Ussel et le sac de Béziers.
Une première intrigue occupe le début du roman et justifie que l'on retrouve d'anciennes connaissances du chevalier troubadour.
Connaissances qui ont la rancune tenace, il faut bien le dire.
Ils n'auront de cesse de causer des ennuis tant à notre héros, qu'à son entourage, ou encore à de braves gens qui n'ont rien demandé.
Tout cela que fond de traque cathare. La religion n'est elle pas la plus grande meurtrière dans l'histoire humaine.
Au fond, lorsqu'on veut se débarrasser de quelques ennemis ou justifier un petit pillage ou deux, il suffit de lancer une croisade et tout s'arrange.
Et c'est le cas dans Béziers 1209 ou Jean d'Aillon raconte, avec son talent habituel, le massacre de l'entièreté de la ville par les Croisés sur ordre du Pape.
"Dieu reconnaîtra les siens" paraît-il mais quand les innocents sont passés au fil de l'épée, c'est un peu tard.
Ceci n'est pas le propos.
Cette critique pour dire que le talent de l'auteur ne se dément pas. Que les aventures sont haletantes et qu'on a du mal a quitter Guilhem et ses amis.
Une première intrigue occupe le début du roman et justifie que l'on retrouve d'anciennes connaissances du chevalier troubadour.
Connaissances qui ont la rancune tenace, il faut bien le dire.
Ils n'auront de cesse de causer des ennuis tant à notre héros, qu'à son entourage, ou encore à de braves gens qui n'ont rien demandé.
Tout cela que fond de traque cathare. La religion n'est elle pas la plus grande meurtrière dans l'histoire humaine.
Au fond, lorsqu'on veut se débarrasser de quelques ennemis ou justifier un petit pillage ou deux, il suffit de lancer une croisade et tout s'arrange.
Et c'est le cas dans Béziers 1209 ou Jean d'Aillon raconte, avec son talent habituel, le massacre de l'entièreté de la ville par les Croisés sur ordre du Pape.
"Dieu reconnaîtra les siens" paraît-il mais quand les innocents sont passés au fil de l'épée, c'est un peu tard.
Ceci n'est pas le propos.
Cette critique pour dire que le talent de l'auteur ne se dément pas. Que les aventures sont haletantes et qu'on a du mal a quitter Guilhem et ses amis.
