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Critique de UGLYLUCKY


Laurent Akhnin ratisse les fonds de tiroir pour exhumer ceux qui ont fait le cinéma bis. Celui qui a alimenté les salles de quartiers, qui était bricolé et réalisé sans grand soucis esthétique et qui, pourtant, a apporté du plaisir à une génération de spectateurs pas trop exigeants. L'opportunité de revenir sur Jess Franco, Russ Meyer, Mario Bava et plusieurs autres qui ont connu un regain d'intérêt grâce à la location de VHS puis la commercialisation de DVD. Des longs métrages qui possédaient une once d'originalité en jouant la carte de la décomplexion totale dans l'érotisme, la violence ou l'horreur. Néanmoins, on retient sa liberté totale, car il se voulait avant tout le territoire d'un cinéma pas totalement normalisé, loin des grands studios et méprisé par la critique, donc propice à toutes les formes de transgressions.
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