J'ai été séduite par la quatrième de couverture et pas déçue de la suite, si ce n'est la seconde partie un peu trop folklorique à mon goût, et qui m'a donné l'impression de quitter l'essence même de ce roman.
Même si le langage est cru, il reflète une véritable façon de parler des gens de la rue, de la vraie vie, de cette réalité que l'on ne veut pas toujours voir.
Casablanca, la ville blanche a aussi ses côtés noirs, ceux du petit peuple qui ne cesse de survivre et de rêver à un ailleurs meilleur.
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