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Critique de Chezaude
Luc Alenvers était musicien à Cuba. Il sera mis à la porte pour une histoire de rhum frelaté et traversera la forêt amazonienne pour échapper à ses poursuivants. A Buenos Aires, il se cache dans un container à bananes et traverse l'Atlantique pour arriver en Espagne, qu'il fuira suite à une histoire de Vodka trafiquée. Il s'enfuit en France, changeant de visage et de nom.
« le seigneur des écorchés » met en scène plusieurs protagonistes d'horizons différents qui vont se retrouver par un concours de circonstances au Mexique. Marybel accompagnée de sa mère et de sa soeur fuient la violence du Honduras, Jill et Chloé partent se changer les idées, et Carlos part à la recherche de son fils qui a disparu.
L'auteur nous fait partager la vie de chacun des personnages à tour de rôle, nous permettant de bien nous imprégner de leur vie et de leur personnalité pour finalement les faire tous se rencontrer dans des circonstances tragiques. En effet une corporation continue à perpétuer le rituel rendu au dieu maya Xipe Totec, rituel sanglant très éloigné de nos pratiques actuelles.
L'auteur nous plonge rapidement dans l'histoire et donne très vite au lecteur l'envie de connaître la suite, de savoir quel lien il va y avoir entre les différents personnages. Déroutant par la violence de pratiques mayas datant d'une époque lointaine, on espère jusqu'au bout que les personnages survivront et que ces pratiques cesseront. le seul reproche que je pourrais faire est que l'emploi de nombreux termes mayas rend parfois la lecture un peu malaisée, nous faisant perdre le fils, mais c'est une remarque mineure pour un livre que l'on dévore.
« le seigneur des écorchés » met en scène plusieurs protagonistes d'horizons différents qui vont se retrouver par un concours de circonstances au Mexique. Marybel accompagnée de sa mère et de sa soeur fuient la violence du Honduras, Jill et Chloé partent se changer les idées, et Carlos part à la recherche de son fils qui a disparu.
L'auteur nous fait partager la vie de chacun des personnages à tour de rôle, nous permettant de bien nous imprégner de leur vie et de leur personnalité pour finalement les faire tous se rencontrer dans des circonstances tragiques. En effet une corporation continue à perpétuer le rituel rendu au dieu maya Xipe Totec, rituel sanglant très éloigné de nos pratiques actuelles.
L'auteur nous plonge rapidement dans l'histoire et donne très vite au lecteur l'envie de connaître la suite, de savoir quel lien il va y avoir entre les différents personnages. Déroutant par la violence de pratiques mayas datant d'une époque lointaine, on espère jusqu'au bout que les personnages survivront et que ces pratiques cesseront. le seul reproche que je pourrais faire est que l'emploi de nombreux termes mayas rend parfois la lecture un peu malaisée, nous faisant perdre le fils, mais c'est une remarque mineure pour un livre que l'on dévore.
