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Critique de Audrey56


Dans le panthéon des livres, nous trouvons les livres sacrés, Torah, Nouveau Testament, Coran pour ne citer qu'eux, et puis il y a, à l'image d'un Hercule, les demi-dieux. La Divine Comédie de Dante est de ceux-là. Livre sacré, connu de tous, et dont, une fois n'est pas coutume, l'auteur est identifié.
En cette période de fêtes de fin d'année, offrir ce demi-dieu est donc offrir un cadeau prestigieux. Et si ce livre est publié dans une édition bilingue dans la non moins prestigieuse bibliothèque de la Pléiade, à l'occasion des sept cents ans de la mort de Durante degli Aligheri dit Dante, ça n'est plus un cadeau, c'est carrément un bijou !
Un bijou que Dante a entièrement rédigé pendant son exil (voir article) entre 1308 et 1321. La Comédie (elle ne s'appellera La Divine Comédie qu'à partir de 1555) est composée de cent chants, divisés en trois cantiques : l'Enfer, le Purgatoire et le Paradis. Rédigée en langue vulgaire, elle est un succès quasi immédiat. Traduite en latin par Bertoldi dès 1416, elle le sera ensuite en castillan par Henri de Villena en 1428, en catalan en 1429, en français par Balthasar Grangier en 1597. Elle est aujourd'hui traduite dans plus de 60 langues.

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