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Critique de Jelussa
Depuis longtemps dans ma PAL à cause de son titre, j'ai enfin pris le temps de lire ce roman… « pris le temps » n'est cependant pas le terme exact pour un livre que je viens de « dévorer » ! 444 pages de lecture intense et immersive, dont on ressort les yeux brouillés, le coeur retourné et des notes d'espoir plein la tête.
C'est un très beau roman d'amour, d'amitié aussi. Une belle histoire familiale. Une chronique de jeunesse en Géorgie. Une belle expérience de vie. Un magnifique témoignage sur une maladie pas très bien connue, véritable handicap (bien que l'histoire soit fictive, elle est tout de même inspirée). Ainsi qu'un témoignage sur le deuil toujours si difficile.
Bref un roman très complet et qui a le mérite d'approfondir chacun de ces sujets. Les personnages secondaires sont suffisamment nombreux pour permettre de proposer divers points de vue.
Le décor est bien décrit, l'ambiance nous emporte aussitôt : le lecteur n'a plus qu'à se laisser attendrir ou agacer, c'est selon, par les protagonistes. L'humour est omniprésent et j'ai apprécié de nombreuses formulations bien à propos.
Je crois que rien ne m'a déplu.
Une belle réussite que j'aurais plaisir à partager avec mes collégiens les plus grands (public cible à partir de 15 ans).
C'est un très beau roman d'amour, d'amitié aussi. Une belle histoire familiale. Une chronique de jeunesse en Géorgie. Une belle expérience de vie. Un magnifique témoignage sur une maladie pas très bien connue, véritable handicap (bien que l'histoire soit fictive, elle est tout de même inspirée). Ainsi qu'un témoignage sur le deuil toujours si difficile.
Bref un roman très complet et qui a le mérite d'approfondir chacun de ces sujets. Les personnages secondaires sont suffisamment nombreux pour permettre de proposer divers points de vue.
Le décor est bien décrit, l'ambiance nous emporte aussitôt : le lecteur n'a plus qu'à se laisser attendrir ou agacer, c'est selon, par les protagonistes. L'humour est omniprésent et j'ai apprécié de nombreuses formulations bien à propos.
Je crois que rien ne m'a déplu.
Une belle réussite que j'aurais plaisir à partager avec mes collégiens les plus grands (public cible à partir de 15 ans).
