Un retour en demi-teinte pour ce deuxième et dernier opus d'Esme. le premier tome m'avait complètement emballée, emportée, enthousiasmée… Cette deuxième partie me semble plus terne. L'histoire est un peu noyée par les scènes de sexe qui, trop nombreuses, n'apportent pas grand-chose au récit. Qu'on s'entende bien : je n'ai rien contre la littérature un peu « hot », mais encore faut-il qu'on y trouve un peu d'imagination, que tout ça sorte de l'ordinaire ! Ici, ça faisait un peu remplissage, comme si
Farah Anah avait « tout donné » dans le premier tome, et devait rajouter des pages pour arriver à un pavé acceptable par l'éditeur…
C'est dommage, mais je garderai, malgré cette petite déception, un bon souvenir de cette duologie, de cette histoire d'amour bouleversante, toxique, et éminemment douloureuse.
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