La poésie d'Ancelot le montre dépris de la gloriole littéraire, notamment dans son épître à son ami le poète
Alexandre Soumet, mais attentif au contraire aux batailles perdues, sur le ton de la mélancolie romantique. Parfois aussi, il s'exprime sur le ton plaisant des salons (dialogues en vers) où la plaisanterie douce-amère se fait au détriment de figures plus ou moins ridicules. Souvent, les poèmes sont dédiés à des connaissances, comme s'il s'agissait davantage de confessions intimes que d'une oeuvre destinée au public.
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