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Critique de Takalirsa


J'ai lu ce roman par bribes, parce qu'il était dans ma liseuse que je n'utilise qu'à l'occasion. Ma lecture s'est donc étalée sur plusieurs mois, ce qui n'aide pas à entrer dans l'histoire… En même temps, rien ne m'a vraiment donné envie de m'y plonger plus assidûment.

Pourtant c'est une chouette histoire, celle d'un adolescent atteint de nanisme que son talent pour la sculpture place sur le chemin d'une jeune bourgeoise rebelle. Leur amitié durera toute la vie, d'ailleurs le roman débute à la mort de Mimo qui, dans ses derniers instants, se replonge dans ses souvenirs, le point de départ étant une mystérieuse sculpture tenue cachée par le Vatican.

J'ai aimé le personnage de Viola la féministe, qui lutte avec courage contre les préjugés de rang social et de sexe (« Si le Christ est souffrance, alors ne vous en déplaise, le Christ est une femme. »). Avec elle, « il n'y a pas de limites. Pas de haut ni de bas. Pas de grand ou de petit. Toute frontière est une invention. ». Je l'ai trouvé plus attachante que le héros, malgré l'existence bien remplie de celui-ci.

Le récit alterne entre des moments un peu magiques et une réalité souvent sordide. J'ai trouvé certains passages captivants et d'autres plutôt ennuyeux. Bref je ne saurais pas trop dire si j'ai aimé ou pas. Et en même temps, quand je me pose la question, ce n'est pas bon signe !..
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