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Critique de MARVILLE
Je remercie Babelio et les éditions Eric Bonnier de m'avoir fait parvenir @Julia Fille du Soleil Impératrice de Rome de Myriam Antaki dans le cadre de l'opération Masse critique littérature.
J'ai beaucoup aimé découvrir l'histoire d'une figure romaine dont je n'avais jamais entendu parler de ma vie, cette princesse syrienne devenue impératrice de Rome et à l'origine d'une dynastie.
L'époque est bien décrite. le style est recherché mais fluide, le vocabulaire soigné et le texte truffé de réflexions intéressantes.
Là où cela pêche pour moi, c'est l'angle de narration choisi.
Cette histoire n'a aucun dialogue. Elle démarre par le voyage de l'héroïne, mourante, en route vers son pays natal et pendant lequel elle se remémore ses souvenirs.
Chaque chapitre commence au présent donc, puis après quelques lignes ou quelques paragraphes, l'impératrice déchue bascule dans le passé. Ces coupures régulières et l'absence de dialogues ne m'ont pas permis de vraiment m'immerger dans l'histoire et m'attacher aux personnages, malgré le « je » employé. Je n'ai éprouvé aucune empathie pour cette femme malgré les drames qu'elle vit et qu'une mère ne devrait jamais connaître. Les massacres, viols et autres assassinats dont l'histoire est truffée m'ont laissée totalement froide.
Ce fut pour moi une lecture intéressante, dans le genre pages d'un livre d'histoire, mais qui manque cruellement d'émotions comme on pourrait l'attendre d'un roman.
J'ai beaucoup aimé découvrir l'histoire d'une figure romaine dont je n'avais jamais entendu parler de ma vie, cette princesse syrienne devenue impératrice de Rome et à l'origine d'une dynastie.
L'époque est bien décrite. le style est recherché mais fluide, le vocabulaire soigné et le texte truffé de réflexions intéressantes.
Là où cela pêche pour moi, c'est l'angle de narration choisi.
Cette histoire n'a aucun dialogue. Elle démarre par le voyage de l'héroïne, mourante, en route vers son pays natal et pendant lequel elle se remémore ses souvenirs.
Chaque chapitre commence au présent donc, puis après quelques lignes ou quelques paragraphes, l'impératrice déchue bascule dans le passé. Ces coupures régulières et l'absence de dialogues ne m'ont pas permis de vraiment m'immerger dans l'histoire et m'attacher aux personnages, malgré le « je » employé. Je n'ai éprouvé aucune empathie pour cette femme malgré les drames qu'elle vit et qu'une mère ne devrait jamais connaître. Les massacres, viols et autres assassinats dont l'histoire est truffée m'ont laissée totalement froide.
Ce fut pour moi une lecture intéressante, dans le genre pages d'un livre d'histoire, mais qui manque cruellement d'émotions comme on pourrait l'attendre d'un roman.
