La natation, respiration de la pensée, flux de conscience qui alterne les mouvements et les temps, les mots et la quête du désir, celle aussi de la fin de l'amour. Dans une prose très introspective, entre la fiction et l'invention de soi, entre la théorie littéraire et l'étymologie, le désir et son langage toujours trop abstrait, entre le contemporain et les mythes grecs,
Marianne Apostolides interroge le corps qui nous constitue, les façons de dire et de détourner ses souffrances et espoirs.
Elle nage laisse résonner les rythmes/alternatives de nos vies.
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