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Critique de Nominoe
Nozomi est douée au football mais c'est une femme et elle a beau être plus forte que la majorité des garçons de son équipe, quand vient le temps des matchs officiels c'est du bord du terrain qu'elle doit regarder ses coéquipiers. le décor est planté, Sayonara Football c'est l'histoire d'une jeune fille qui va chercher à s'imposer dans un univers masculin.
L'idée de départ est bonne, c'est une occasion supplémentaire de lutter contre les stéréotypes, les préjugés et les idées préconçues en montrant que les filles peuvent jouer au football et mieux que les garçons. Une histoire sur le dépassement de soi et à ce titre la détermination de Nozomi est sans faille et on est un peu consterné de voir son entraîneur reconnaître son talent mais lui fermer systématiquement la porte de son équipe. C'est rythmé et on se prend vite au jeu même si les scènes de football ont tendance à manquer de lisibilité et les actions ne sont pas toujours très fluides. Je trouve aussi que Naoshi Arakawa insiste énormément sur la différence de physique entre les filles et les garçons. A ce titre, la rivalité entre Nozomi et Namek - son ami d'enfance - est parfois un peu poussive à l'image de l'histoire qui s'essouffle assez rapidement au cours du deuxième tome même si la fin a le mérite de ne pas tomber dans les poncifs habituels.
A noter que cette série est seulement composée de 2 tomes donc forcément ça promet moins de personnages et d'adversaires que dans un Captain Tsubasa par exemple. Il y a même un seul et unique match donc c'est un peu court pour réellement s'attacher aux personnages.
L'idée de départ est bonne, c'est une occasion supplémentaire de lutter contre les stéréotypes, les préjugés et les idées préconçues en montrant que les filles peuvent jouer au football et mieux que les garçons. Une histoire sur le dépassement de soi et à ce titre la détermination de Nozomi est sans faille et on est un peu consterné de voir son entraîneur reconnaître son talent mais lui fermer systématiquement la porte de son équipe. C'est rythmé et on se prend vite au jeu même si les scènes de football ont tendance à manquer de lisibilité et les actions ne sont pas toujours très fluides. Je trouve aussi que Naoshi Arakawa insiste énormément sur la différence de physique entre les filles et les garçons. A ce titre, la rivalité entre Nozomi et Namek - son ami d'enfance - est parfois un peu poussive à l'image de l'histoire qui s'essouffle assez rapidement au cours du deuxième tome même si la fin a le mérite de ne pas tomber dans les poncifs habituels.
A noter que cette série est seulement composée de 2 tomes donc forcément ça promet moins de personnages et d'adversaires que dans un Captain Tsubasa par exemple. Il y a même un seul et unique match donc c'est un peu court pour réellement s'attacher aux personnages.
