Revisiter
Salvador Dali dans un Barcelone décadent n'était pas chose aisée, mais c'est sans compter sur l'humour de
Arleston et le trait de crayon magique de
Barbucci. Bon, j'ai tout de même moins apprécié cet opus, car ne connaissant pas parfaitement ni la ville, ni le personnage délirant qu'était
Dali, je suis sans doute passée à côté de références qui m'auraient fait rire. Dommage
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