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Critique de Meps
Ce tome 6 de la série nous propose une sorte de redémarrage, puisque quand le héros revient sur Merrion, 16 ans se sont passés pendant ses aventures. Cette sorte de reboot est plutôt salutaire à la série, l'intrigue retrouve sa cohérence, des révélations salutaires sont faites (trop de mystères tue le mystère).
Bref le plaisir revient (avec le retour de Cixi, est-ce un hasard ?) Cela reste pour moi un cran au dessous de la série d'origine Lanfeust de Troy. Ce tome est marqué par un grand nombre d'ellipses qui permettent de faire avancer le tout plus vite mais sont parfois perturbantes. Espérons que les promesses esquissées dans ce tome seront confirmées par la suite de la série.
Sinon, la base de la série reste présente, des dessins fouillés (et moins fouillis là aussi que dans le tome précédent), de l'imagination dans le design des différentes créatures, un humour à base de jeux de mots et de références, souvent tirés par les cheveux, mais c'est aussi ça qui est drôle.
Bref le plaisir revient (avec le retour de Cixi, est-ce un hasard ?) Cela reste pour moi un cran au dessous de la série d'origine Lanfeust de Troy. Ce tome est marqué par un grand nombre d'ellipses qui permettent de faire avancer le tout plus vite mais sont parfois perturbantes. Espérons que les promesses esquissées dans ce tome seront confirmées par la suite de la série.
Sinon, la base de la série reste présente, des dessins fouillés (et moins fouillis là aussi que dans le tome précédent), de l'imagination dans le design des différentes créatures, un humour à base de jeux de mots et de références, souvent tirés par les cheveux, mais c'est aussi ça qui est drôle.
