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Critique de tchouk-tchouk-nougat


300 ans ont passé depuis l'épopée de Darko contre le clergé de la lumière. La magie et les titans ont disparus, relégués à des légendes.
Luksand est un jeune prestidigitateur qui va se faire embaucher par un vieil archéologue pour ses talents à convaincre les foules. Mais bien sur il va vite se retrouver mêlé à une entreprise plus grande.

Un cycle nouveau pour les Forêt d'Opale et comme on dit au revoir à Darko et à ses amis, nous devons dire au revoir à Philippe Pellet qui dessinait le premier cycle. C'est Fernandez qui reprend la suite. Et si son trait n'a pas le caractère et la précision de Pellet, il n'en reste pas moins élégant mais plus classique. Une unité est quand même respectée dans le graphisme, les décors et le bestiaire. le changement se passe plutôt bien donc.
En ce qui concerne l'intrigue, Arleston ne fait pas dans l'originalité. Un vieux sage va dénicher un jeune héros qui s'ignore pour lui faire porter le destin du monde sur ses épaules. Il est bien sur accompagné d'une assistante aussi jolie que douée pour l'histoire et l'art de se battre. Pas de grosse surprise donc pour ce début d'histoire : on devine dès la première page l'illustre famille dont descend Luksand et on devine tout aussi facilement l'objet tant convoité par son nouveau précepteur.
Après ce n'est pas pour cela qu'on ne passe pas un bon moment de lecture. C'est une vieille recette, mais une recette qui marche. le rythme reste dynamique avec quelques pointes d'humour.
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