Je viens de finir le 23e album des Trolls de Troy, "Art brut".
Déçu.
Un tome facile qui repose, hélas, sur des monceaux de préjugés. Pas de chance pour Christophe Arleston, je connais tous les milieux ou pays qu'il tourne en dérision. Dès lors, je ne peux que constater la pauvreté du scénario, dont les traits d'humour tombent à plat. Aucune aventure, aucun suspense. Seulement des caricatures d'artistes célèbres et des gags en cascade. Les rares sourires qui m'ont été arrachés relèvent des jeux de mots sur les noms des personnages.
La seule réussite repose sur les planches de Jean-Louis Mourier, en fin d'album, amusants pastiches d’œuvres très connues à la sauce trolle.
Un opus qui ne restera pas dans les annales.
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