Citations sur Hitchcock présente : Histoires de mort et d'humour (25)
Les femmes sont toujours une source de difficultés ou d’ennuis. Même si on les aime au début, la monotonie de l’existence commune risque bien vite de transformer cet amour en haine.
La littérature, voyez-vous, est composée de deux éléments essentiels : la mort et l’amour. En ce qui me concerne, je préfère laisser les femmes-écrivains traiter de l’amour. Je trouve la mort beaucoup plus passionnante. Somme toute, l’amour, c’est toujours un peu la même rengaine. Tandis que la mort est un événement qui ne se produit qu’une seule fois dans la vie d’un homme !
Avec un minimum de chance, il pouvait se débarrasser en toute sécurité de la maître chanteuse. S’il échouait : après tout, il était un grand malade et pouvait plaider la provocation. S’il réussissait : quel plaisir de voir le monde stupide s’évertuer en vain à résoudre le mystère qu’il avait créé de ses propres mains !
C’est le propre de l’argent, vous savez : plus on en a, plus on en désire.
Ma femme, Carol, est loin de manquer d’attraits. Je n’aurais pas pu l’épouser – argent ou pas – si elle avait été laide ou même quelconque. Parce qu’en somme, quand on se marie, on est amené à présenter sa femme à tous ses amis et c’est très gênant si on a honte d’elle.
Quand on veut devenir écrivain, il faut s’habituer à noter les faits d’une façon méthodique, en les accompagnant de dialogues comme dans les pièces de théâtre. Ne serait-ce que pour s’entraîner jusqu’à ce qu’on soit devenu riche et célèbre.
Le monde a été créé en sept jours. Qui sait ce qui peut se passer en une semaine ?
Tout le monde s’intéresse à l’argent et certains en ont besoin plus que d’autres.
Les coupables sont toujours en colère quand on leur fait toucher du doigt leur culpabilité.
Quand on tente sa chance, il faut considérer qu’on peut perdre aussi bien que gagner.