Woodstock, tome 6

Comme je l'avais déjà dit dans une précédente critique, le dessin est moins bon qu'au commencement de la série. Pas besoin d'être un spécialiste pour constater que certains visages sont franchement ratés (yeux complètement de travers par exemple), de même que d'autres éléments physiques comme les mains. Pour ma part, j'ai vraiment l'impression qu'il y a un gros décalage par rapport à la qualité des trois premiers tomes, ou même tout simplement par rapport à la couverture de ce sixième tome, qui est superbe.

Heureusement, l'intrigue tient la route. Mieux encore, elle nous capte littéralement ! L'avenir de Charlie est en train de se construire. Nous assistons au début du groupe avec l'enthousiasme d'un véritable fan ! J'espère que le dessin gagnera en rigueur car sinon, l'histoire risque d'en pâtir.

Mis à part cela, je tiens à dire que j'ai beaucoup aimé la fin du tome. L'auteur nous dévoile un pan de l'enfance de Psy. Nous découvrons quel événement l'a poussé à jouer d'un instrument. Un flash-back qui conclut avec émotion ce sixième tome.