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Critique de Colibrille
Après un sixième tome que j'ai trouvé plutôt mauvais d'un point de vue graphique, les dessins gagnent enfin en rigueur. Je retrouve le trait énergique et élégant que j'avais tant aimé dans les premiers tomes. Non seulement le dessin est plus convaincant, mais l'intrigue devient aussi de plus en plus prenante et dense.
Dans ce septième tome, l'auteur choisit d'approfondir le personnage de Raido. Un choix qui s'avère des plus judicieux puisqu'il relance activement l'intrigue mais apporte aussi une touche dramatique. Derrière le musicien déchaîné, nous découvrons un jeune homme sensible, vivant pour sa musique et représentant une certaine éthique.
Ce tome est également l'occasion pour l'auteur d'aborder des sujets plus sensibles et mettre en évidence certaines réalités du monde de la musique : la rivalité parfois acharnée entre les musiciens ainsi que la drogue, fléau de bien des artistes...
Un très bon tome !
Dans ce septième tome, l'auteur choisit d'approfondir le personnage de Raido. Un choix qui s'avère des plus judicieux puisqu'il relance activement l'intrigue mais apporte aussi une touche dramatique. Derrière le musicien déchaîné, nous découvrons un jeune homme sensible, vivant pour sa musique et représentant une certaine éthique.
Ce tome est également l'occasion pour l'auteur d'aborder des sujets plus sensibles et mettre en évidence certaines réalités du monde de la musique : la rivalité parfois acharnée entre les musiciens ainsi que la drogue, fléau de bien des artistes...
Un très bon tome !
