Le sexe. Un élément redondant dans l'oeuvre de
Asano, parfois discret comme dans Solanin, parfois élément central de certains traumas comme dans Bonne Nuit Punpun... et puis il y a l'extrême. La fille de la Plage.
Loin de moi l'idée de répandre des idéaux emplis d'un puritanisme éhonté, mais ici, c'est un pur festival de débauche voyeuriste. Je vois bien pourtant l'idée général de
Asano, qui est de mettre un coup de projecteur sur les fantasmes sales et honteux d'une jeunesse en plein désarroi sentimentale, mais n'y avait-il pas une autre manière que de se complaire dans des scènes de sexe aussi répétées ? D'aller jusqu'à la coprophagie ?
Je ne comprends pas cette oeuvre, et je crois ne pas en avoir envie.
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