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Critique de Satori
Il y a certainement une ambiance digne d'Agathe Christie dans les nouvelles à huis clos d'Isaac Asimov.
Un club d'amis, les "veufs noirs", strictement interdit aux femmes, se réunit chaque mois le temps d'un repas.
Selon la règle, chaque veuf noir présente à tout de rôle au club un invité qu'il estime intéressant et auquel est invariablement et très sérieusement posée la question de départ : "comment justifiez-vous votre existence?"
Pendant le cours du repas servi par le discret mais indispensable Henry, l'invité présente aux veufs noirs une énigme qui le tourmente.
Les veufs noirs se lancent alors dans de multiples théories, échafaudent des hypothèses, font travailler toutes leurs petites "cellules grises" jusqu'à ce qui ne reste plus qu'une solution qui sera nonchalamment dévoilée par le discret Henry.
Ce qui est intéressant également est qu'à la suite de chaque nouvelle, Asimov a rédige un petit commentaire sur la genèse de la nouvelle avec très souvent une pointe d'humour que l'on retrouve également avec délice dans chaque nouvelle.
Un club d'amis, les "veufs noirs", strictement interdit aux femmes, se réunit chaque mois le temps d'un repas.
Selon la règle, chaque veuf noir présente à tout de rôle au club un invité qu'il estime intéressant et auquel est invariablement et très sérieusement posée la question de départ : "comment justifiez-vous votre existence?"
Pendant le cours du repas servi par le discret mais indispensable Henry, l'invité présente aux veufs noirs une énigme qui le tourmente.
Les veufs noirs se lancent alors dans de multiples théories, échafaudent des hypothèses, font travailler toutes leurs petites "cellules grises" jusqu'à ce qui ne reste plus qu'une solution qui sera nonchalamment dévoilée par le discret Henry.
Ce qui est intéressant également est qu'à la suite de chaque nouvelle, Asimov a rédige un petit commentaire sur la genèse de la nouvelle avec très souvent une pointe d'humour que l'on retrouve également avec délice dans chaque nouvelle.
