Traduit pour la première fois en langue française, Isaac Asimov, le célèbre auteur du Cycle de Fondation, raconte l'histoire d'une petite tribu semi-civilisée qui a créé en l'espace de 500 ans, grâce à leur audace et leur ingéniosité, l'une des civilisations les plus brillantes jamais vues : Rome. Son don extraordinaire pour croquer des figures historiques, rendre simples et lumineux des batailles et des événements pourtant complexes plonger au coeur des systèmes socio-politiques pour en tirer les plus évidentes leçons, entraîne le lecteur dans une aventure mémorable aux quatre coins de l'Europe. A travers cette chronique menée tambour battant, c'est aussi notre histoire qu'il raconte tant les Romains ont influencé la forme de notre vie quotidienne, nos institutions et nos idéaux de justices et d'honneur.
Vidéo réalisée par Benjamin van Blancke à partir des illustrations du livre.
Disponible en librairie. Pour en savoir plus sur cet ouvrage, écouter un extrait audio ou feuilleter des bonnes pages : https://bit.ly/46V7V84
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La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
L’aspect le plus triste de notre vie aujourd’hui est que la science acquière les connaissances plus vite que la société n’acquière la sagesse.
En fait, je me suis laissé dire que si dans les années futures on se souvient encore de moi, ce sera à cause des Trois Lois de la Robotique. D'une certaine manière, ce fait ne laisse pas de me préoccuper ; j'ai en effet pris l'habitude de me considérer comme un homme de science, et laisser un nom pour avoir établi les bases inexistantes d'une science inexistante me cause, je l'avoue, quelque embarras, sinon de la déception.
La violence est le dernier refuge de l'incompétence.
L'histoire de l'humanité nous montre invariablement que l'éloignement dans le temps aussi bien que dans l'espace fausse la perspective. Il ne semble pas, soit dit en passant, que cette leçon soit jamais demeurée gravée dans les esprits bien longtemps.
Les livres contiennent de l'humour, de la beauté, de l'intelligence, de l'émotion, de la pensée, et bien sûr, tout ce qui fait la vie.
La vie sans un livre est vide.
Je commence à entrevoir comment vous travaillez, vous autres mythologues. Vous construisez une magnifique superstructure, mais qui peut fort bien être bâtie sur du vent.
L’aspect le plus triste de notre vie aujourd’hui est que la science acquière les connaissances plus vite que la société n’acquière la sagesse.
Puisque j'ai été fréquemment amené à parler de l'avenir de l'homme, je ne peux me retenir d'utiliser "Everest" pour souligner quel expert ès-futurs je suis. Après tout, j'ai prédit que le mont Everest ne serait jamais vaincu, cinq mois "après" qu'il eut été vaincu.
(A propos de la nouvelle "Everest". Extrait du recueil de nouvelles "Flûte, flûte et flûtes!")
Pour réussir, il ne suffit pas de prévoir. Il faut aussi savoir improviser.