En juillet 2009, le journaliste et écrivain
Claude Askolovitch perd sa femme, Valérie, et dans le même temps tombe amoureux de Kathleen. Tandis que la tristesse et la culpabilité le rongent, il tente de se convaincre : "on a le droit de vivre, cela ne salit rien". Dans cette confession sobre et mélancolique, il descend au fond de lui-même, décrivant ses angoisses, ses égarements et ses lâchetés. Son récit, qui court des années 1980 aux années 2010, raconte aussi le besoin d'être aimé, l'histoire d'une famille qui se recompose, la rédemption par le travail ou encore la férocité du monde du pouvoir (médiatique, politique).
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