>
Critique de MelancholiaXIX
Dans ce roman, nous suivons le parcours d'une famille : les Florio. Arrivés à Palerme, les frères Ignazio et Paolo désirent faire fortune, pour ce faire ils dirigent une herboristerie. Très vite, l'arrivée de ces pouilleux déplaît et encore plus leur ascension sociale. Cette ascension sociale est dû au travail de deux hommes : Ignazio Florio et Vincenzo Florio.
J'ai apprécié la lecture de ce roman mais il possède quelques défauts. Tout d'abord la temporalité. Dans ce premier tome nous suivons la famille sur 70 ans, le problème est donc que l'on ne peut réellement s'attacher aux personnages. Ce défaut concerne surtout la première moitié du roman. J'ai également trouvé la première moitié du roman quelque peu ennuyeuse. Mais à partir des pages 200, le roman prend une autre direction pour devenir passionnant.
Le roman se lit très vite malgré ces 550 pages. Ne vous attendez pas à un style d'écriture révolutionnaire mais qui reste toutefois efficace.
J'ai apprécié suivre l'ascension de cette famille. Partie de rien, la famille aura Palerme à ses pieds mais aux prix de coups bas et de sacrifices. Ce sont de véritables lions. le plus féroce est Vincenzo, rien ne peut arrêter sa soif de réussite. C'est donc une histoire palpitante ! Toutefois ce sont les Francalanza et les guépards qui m'auront plus conquises.
J'ai apprécié la lecture de ce roman mais il possède quelques défauts. Tout d'abord la temporalité. Dans ce premier tome nous suivons la famille sur 70 ans, le problème est donc que l'on ne peut réellement s'attacher aux personnages. Ce défaut concerne surtout la première moitié du roman. J'ai également trouvé la première moitié du roman quelque peu ennuyeuse. Mais à partir des pages 200, le roman prend une autre direction pour devenir passionnant.
Le roman se lit très vite malgré ces 550 pages. Ne vous attendez pas à un style d'écriture révolutionnaire mais qui reste toutefois efficace.
J'ai apprécié suivre l'ascension de cette famille. Partie de rien, la famille aura Palerme à ses pieds mais aux prix de coups bas et de sacrifices. Ce sont de véritables lions. le plus féroce est Vincenzo, rien ne peut arrêter sa soif de réussite. C'est donc une histoire palpitante ! Toutefois ce sont les Francalanza et les guépards qui m'auront plus conquises.
