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Critique de MeljuK
Après avoir lu moult critiques emballées, avoir entendu moult avis conquis, je me suis dit qu'il fallait que moi aussi je lise ce fameux Jane Austen. C'est désormais chose faite.
Le fond de l'histoire n'est pas palpitant, là n'est pas ce qu'il faut attendre de ce récit. On peut y trouver en revanche une réflexion sur la gestion des a priori et les bonnes moeurs de l'époque.
D'un point de vu récent, les conversations entre les personnages me paraissent bien futiles, à base de « comment va un tel », « comment vont vos parents » « qui a fait quoi » … mais nos discutions d'aujourd'hui sont elles vraiment plus intéressantes ?
Certains personnages sont irritants voir carrément exécrables. Je pense notamment à Lady Catherine de Bourgh, stéréotype d'une madame je sais tout ne pouvant s'empêcher de donner (d'imposer plutôt) son avis sur tout et n'importe quoi. Mais également à M.Collins dont la politesse poussée à l'extrême, m'a donné envie de prononcer à voix haute des grossièretés en tout genre pour contrebalancer ce trop plein.
J'ai eu l'impression que personne n'était capable de se faire une impression d'autrui sans avoir recours aux discours et aux avis de tout un tas de gens. Comme si plutôt que de discuter avec quelqu'un pour me forger une opinion sur lui, je préférais demander à ses amis, ses parents, ses frères et soeur, ses oncles et tantes….
Sans surprise, la place des femmes se résume presque uniquement à la recherche d'un bon parti. J'ai eu du mal avec la façon dont la plupart des personnages féminins sont présentés comme idiots et inconséquents.
Heureusement qu'Elizabeth est là pour remonter le niveau. J'ai adoré son franc parler et son côté piquant, parfois en opposition complète avec la bienséance.
Un peu déçue par ma lecture même si j'ai été convaincu par le style. Un petit côté Bridgerton, le sexe et le piment en moins …
Le fond de l'histoire n'est pas palpitant, là n'est pas ce qu'il faut attendre de ce récit. On peut y trouver en revanche une réflexion sur la gestion des a priori et les bonnes moeurs de l'époque.
D'un point de vu récent, les conversations entre les personnages me paraissent bien futiles, à base de « comment va un tel », « comment vont vos parents » « qui a fait quoi » … mais nos discutions d'aujourd'hui sont elles vraiment plus intéressantes ?
Certains personnages sont irritants voir carrément exécrables. Je pense notamment à Lady Catherine de Bourgh, stéréotype d'une madame je sais tout ne pouvant s'empêcher de donner (d'imposer plutôt) son avis sur tout et n'importe quoi. Mais également à M.Collins dont la politesse poussée à l'extrême, m'a donné envie de prononcer à voix haute des grossièretés en tout genre pour contrebalancer ce trop plein.
J'ai eu l'impression que personne n'était capable de se faire une impression d'autrui sans avoir recours aux discours et aux avis de tout un tas de gens. Comme si plutôt que de discuter avec quelqu'un pour me forger une opinion sur lui, je préférais demander à ses amis, ses parents, ses frères et soeur, ses oncles et tantes….
Sans surprise, la place des femmes se résume presque uniquement à la recherche d'un bon parti. J'ai eu du mal avec la façon dont la plupart des personnages féminins sont présentés comme idiots et inconséquents.
Heureusement qu'Elizabeth est là pour remonter le niveau. J'ai adoré son franc parler et son côté piquant, parfois en opposition complète avec la bienséance.
Un peu déçue par ma lecture même si j'ai été convaincu par le style. Un petit côté Bridgerton, le sexe et le piment en moins …
