Mon goût pour la correspondance est une nouvelle fois comblée.
Paul Auster, je le connais pour avoir lu il y a longtemps la Trilogie new-yorkaise ; et John Coetzee, c'est pour moi le plus grand écrivain vivant. Aurais-je imaginé cette amitié, ce dialogue intellectuel entre ce deux auteurs que j'estimais si différents? Sans doute pas, et pourtant, la magie de la correspondance est bien là. Avec en son coeur, l'amour de la langue. Dans des sujets tels que le sport, la poésie, la langue est omniprésente. L'un des deux écrit à un moment que la langue est toujours la langue de l'autre ; cette correspondance en est le signe évident.
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