J'ai voulu retourner dans l'ambiance de new york après un séjour dans cette géante " cité de verre" et de béton. Une littérature qui m'a emporté dans un dédale de parcours humains.Tout est prétexte pour approcher une solitude tellement contrastante avec le nombre d'individus;l'individu qui va au bout de lui même et qui finalement rencontre l'humanité dans toute sa nudité.Cette oeuvre remue dans le sens où elle suscite des reflexions multiples à propos de la transmission,la possession...J'ai retraversé ce sentiment de cosmopolitisme qui m'a tellement halluciné la bas.Auster me remet sur la piste des écrivains new yorkais décidément tellement créatifs et humanistes.
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