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Critique de Aderu
Critique express
Des G-men traquant une distillerie en pleine Prohibition, craignant d'avoir des problèmes avec Hoover ? Un porte-flingue négociant pour Joe Masseria ? Encore une histoire d'alcool et de mafia ?
Peut-être, mais avec des loups-garous !
Dans ce premier tome, une famille de rednecks de Virginie Occidentale est le centre des attentions en raison de la qualité du produit qu'elle propose. Joe "The Boss" envoie Lou Pirlo pour négocier la fourniture de cet alcool qui, il en est certain, ravira New-York.
Oui, mais il y a des loups-garous. Donc forcément quand les choses se corsent, ça redistribue les cartes.
Ça pétarade et ça déchiquète. Dans cette période au racisme plus que décomplexé - et que les auteurs n'hésitent pas à mettre en scène -, l'idée d'ajouter des lycanthropes est plutôt sympathique.
J'attends de voir la suite de l'histoire !
Côté graphique, les ambiances sont bien rendues suivant les différents décors. Les scènes d'action sont clairs.
À suivre.
Petit kiff perso : la présence de Lee Bermejo dans les couvertures alternatives.
Des G-men traquant une distillerie en pleine Prohibition, craignant d'avoir des problèmes avec Hoover ? Un porte-flingue négociant pour Joe Masseria ? Encore une histoire d'alcool et de mafia ?
Peut-être, mais avec des loups-garous !
Dans ce premier tome, une famille de rednecks de Virginie Occidentale est le centre des attentions en raison de la qualité du produit qu'elle propose. Joe "The Boss" envoie Lou Pirlo pour négocier la fourniture de cet alcool qui, il en est certain, ravira New-York.
Oui, mais il y a des loups-garous. Donc forcément quand les choses se corsent, ça redistribue les cartes.
Ça pétarade et ça déchiquète. Dans cette période au racisme plus que décomplexé - et que les auteurs n'hésitent pas à mettre en scène -, l'idée d'ajouter des lycanthropes est plutôt sympathique.
J'attends de voir la suite de l'histoire !
Côté graphique, les ambiances sont bien rendues suivant les différents décors. Les scènes d'action sont clairs.
À suivre.
Petit kiff perso : la présence de Lee Bermejo dans les couvertures alternatives.
