Une fois encore, le Nouvel Attila publie une oeuvre de qualité pleine de profondeur, une plongée en apnée dans les eaux froides et glaçantes du virtuel-roi, et où l'on est tenu en haleine tout au long du texte.
Bref,
Jérôme Baccelli a écrit avec génie un livre qui personnifie l'impersonnel.
Critique complète à lire sur le webzine.
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http://www.undernierlivre.ne.. Commenter  J’apprécie         00