J'ai été moins emporté par ces essais sur l'imagination du mouvement - moins de structure générale que pour les trois autres essais sur le feu, l'eau et la terre - peut-être aussi plus de métier de l'auteur, ce qui retire la spontanéité des premiers (feu et eau) et donc l'abord immédiatement onirique en faveur d'une étude plus austère - peut-être aussi moins de surprise du lecteur qui se lasse de Hofmannsthal, Blake et Hugo... une sensation de moins de fraîcheur, d'une écriture sirocco plutôt que bise...
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