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Critique de Darlic
Que c'est bon de replonger dans ces vieilles aventures de fantasy qui ont fait la noblesse de ce style littéraire, car que se le disent biens les jeunes ignorants, Sans les royaumes oubliés ils n'auraient peut-être pas un univers aussi riche aujourd'hui. Certes Tolkien à bien évidemment ouvert la voie mais il a fallut des années pour que ce style triomphe. Alors oui ça casse pas trois pattes à un canard c'est même parfois mal écris. Mais le but des royaumes oubliés était surtout de nous faire vivre des aventures qui allaient à l'essentiel. Et puis à la base comme je l'ai déjà dit Forgotten Realms était à la base des jeux de rôles sur plateau. Au reste cette huitième aventure poursuit sur sa lancé. Sauf que maintenant la quête à légèrement changé depuis que les Paladins ont appris que Eioda est une Doppenlanger (changeforme) Plus question de la marier mais de la jugé pour ses actes. Ce tome porte bien son nom puisqu'il y a des multiples trahison à la clé. Après avoir traversé un nombre important de portail magique, nos compagnons se retrouvent à Port au crâne ou un destin funeste les aurait attendu sans l'intervention de la magicienne les ayant déjà aidé au début de leur aventure. Au final de la traque de la changeforme celle-ci perds le contrôle de son sort et se transforme en statue de pierre, au désespoir de la magicienne car la fausse princesse détient l'âme de son père. Suspense garanti pour l'ultime tome de ce collectif qui a tenu toutes ses promesses jusqu'à présent.
