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Critique de s92d5znkc


Un si joli titre pour rien. les auteurs glissent sans arrêt du vivant à l'inerte ou à la Terre, rendant leur travail difficile à lire et leur réflexion trop difficiles à suivre. Ils peuvent convoquer, dans une même phrase, ici les “rapaces nocturnes” et là “des océans”, dans un même paragraphes parler des liens “inter-spécifiques” pour les résumer à la “planète”. Leur titre et leur démonstration cherchent à nous faire comprendre que nous ne sommes pas seuls car le vivant travaille aussi mais, très paradoxalement, ils nous proposent alors de recoller l'homme à la nature, cette “altérité à laquelle nous appartenons”. Comment ne voient-ils pas que nature et vivant sont deux choses différentes (le soleil est par exemple de la nature). Peut-être ont-ils eu peur de pousser leur réflexion jusqu'au bout. Si on suit leur description des choses en évitant leur confusion des choses, comprendre que nous ne sommes pas seuls revient à comprendre que le vivant est une civilisation inter-spécifique, luttant pour son propre développement contre l'inerte ou la pensée mécaniste ou industrielle. La logique ne serait donc pas de nous recoller à la nature mais de décoller le vivant de celle-ci et de le placer de nous. Les auteurs n'explorent pas cela. Trop confus.
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