Où se cache la folie dans la bonne société parisienne ? Chez le juge soucieux seulement de justice, qui se promène en habit sale et râpé, intéressé seulement par l'application du droit plutôt que par les compromissions du monde qui lui permettraient de progresser dans sa carrière, mais qui distribue son salaire aux pauvres habitants de son quartier ?
Chez le noble qui semble dilapider son argent pour une femme vieille, laide et grosse, mais qui répond à des exigences de probité et d'honneur ?
Chez la grande femme du monde, qui dissimule ses enfants pour se donner vingt ans de moins ?
Une belle nouvelle
De Balzac, sur l'hypocrisie, la dissimulation, et l'importance des apparences.
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