« La cousine Bette » est l'antithèse de Pons, ou lui est la gentillesse personnalisé, elle est la méchanceté dans toutes sa bassesse et sa mesquinerie. Jamais
Balzac n'a brossé un portrait de femme aussi négatif. Bien que sa cousine soit malade, elle manigance pour détruire des couples et se marier, mais rien ne se passe comme elle le voudrait. Plus le temps passe et plus elle devient mauvaise. Encore un livre considéré comme un chef d'oeuvre.
Commenter  J’apprécie         140