:Cette nouvelle par un récit rétrospectif de Derville (un des personnages les plus récurrents de la Comédie Humaine) met en évidence un personnage que je considère (avec
Vautrin) comme l'un des plus fascinant de l'oeuvre :Gobsek (quel nom génial !) . Ce prince des usuriers est apparenté à Esther « La Torpille » de « Splendeur et misères.. » (autre personnage que j'aime beaucoup.)
Balzac en fait un portrait quasi épique surtout dans le récit de sa fin.
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