S'il y a une chose que j'ai appris dernièrement à lire beaucoup
De Balzac, c'est qu'il n'est pas du tout partisan des Happy Ending. D'une certaine façon, la vie est parfois comme ça. La vie, ce n'est pas un conte de fée à la Disney.
La Vendetta ne fait pas exception à cela. Ce que l'on voit ici c'est que le bonheur à un prix. C'est ce que l'on apprend du côté de la fille. du côté du père, on apprends que l'orgueil a aussi un prix.
C'est un roman qui est très touchant mais qui souffre d'un défaut. Il est parfois trop prévisible
Ce roman fait partie des Scènes de la vie privée dans la Comédie Humaine.
Commenter  J’apprécie         50