Quel plaisir de retrouver de temps en temps nos bons vieux classiques, et notamment
Balzac.
Ah retrouver
Balzac ! C'est comme revoir un vieil amour, un ancien amant.
L'ambiance de la Pension est très bien rendue, les personnages sont savoureux, portraits de pauvres gens englués dans une vie sans joie. Sauf pour
le Père Goriot qui aime passionnément ses filles, trop peut être (mais peut on aimer trop ?...), et qui se ruine littéralement pour satisfaire tous leurs caprices.
Difficile de résumer ce livre, ce serait comme résumer
Madame Bovary , on ne peut pas, il faut le lire.
Jamais déçu avec
Balzac, contrairement aux anciennes amours....
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